Notre vision du serveur

Ici, pas de gameplay arcade façon Battlefield ou Call of Duty : nous privilégions l’approche tactique, la coopération, la réflexion et le réalisme propre à Arma.

Chaque engagement doit être pensé.
Chaque décision a un impact.
Chaque déplacement fait partie intégrante d’un environnement vivant, immersif et dynamique.

Contexte :

Le Kharistan est un pays, au cœur du Moyen-Orient, est devenu l’un des territoires les plus convoités de la zone. Situé à la frontière de plusieurs puissances régionales, le district de Kunar occupe une position stratégique majeure : routes d’altitude, vallées étroites, ressources naturelles encore inexploitées et un relief complexe qui façonne chaque combat.

Pendant des années, cette région est restée dans l’indifférence générale, isolée, oubliée, fragile. Mais la chute du gouvernement local a plongé le pays dans une instabilité qui a ouvert la porte aux ambitions étrangères. Profitant du chaos et de l’absence d’autorité légitime, une intervention militaire d’envergure s’est déclenchée, attirant rapidement l’attention des grandes puissances mondiales.

Aujourd’hui, le Kharistan n’est plus seulement un territoire : c’est une poudrière géopolitique.
Les montagnes ne cachent plus les mouvements de troupes, les vallées résonnent du bruit des combats, et chaque village peut devenir un point névralgique sur la carte d’un conflit qui dépasse largement ses frontières.

Découvrez les vallées de Kunar : entre villages abandonnés, crêtes escarpées, routes poussiéreuses et zones industrielles oubliées, le joueur évolue dans un monde en tension permanente. Rien n’est figé : la situation change en fonction des décisions des unités présentes sur le terrain, créant un champ de bataille organique où tout peut basculer en un instant.

Le Kharistan est un territoire hostile, imprévisible, où le terrain est votre meilleur allié autant que votre pire ennemi.

Le conflit s’intensifie chaque jour.

Les forces en présence s’organisent.

Les lignes bougent.

Le destin de cette région instable dépend désormais de ceux qui oseront s’y engager.