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Contes & Légendes - Chapitre 1 : Le Siège de Minas Tirith. (Fermé - Fin de Chapitre.)

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🕯️Contes & Légendes 

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  • Chroniques Et Récit Chapitre 1 Le Siège de Minas Tirith.

    - Acte 1 : Le Commencement. - 

    Nos patrouilles ont mis au jour un repaire dissimulé au nord d’Osgiliath. Les traces de passage, le feu encore tiède et les outils grossiers confirment la présence active d’une avant-garde gobeline. Le nid d’ombre se tapit plus près que nous ne l’imaginions. En réaction, les orcs ont lancé une frappe éclair sur la garnison autour de leur campement avancé. Les lames se sont croisées dans la poussière et si les gobelins demeure, la victoire est orque. Cela laisse entrevoir l’ampleur de l’infestation. Dans le même temps, les maîtres charpentiers et maçons ont repris leurs œuvres sur les murailles et engins de siège de Minas Tirith, aidés par un groupe de Nains , d'Elfes et de Hobbits. Chaque pierre remise, chaque poutre ajustée, témoigne de la volonté de la Cité Blanche de ne pas plier face aux ombres. Pourtant, derrière les remparts polis, un malaise s’installe. Les ruelles de la cité basse bruissent d’inquiétude : vols, disparitions et murmures de trahison. Minas Tirith ne tremble pas seulement sous la menace extérieure mais vacille aussi de l’intérieur. Enfin, les veilleurs ont signalé la présence d’éclaireurs orcs longeant le Mur, de la porte Ouest jusqu’à la porte Nord. Ombres furtives, mais suffisamment audacieuses pour observer nos défenses. Leur regard annonce sans doute les prémices d’assauts plus vastes. Afin de soutenir la défense, de vastes convois chargés de vivres, d’armes et de matériaux ont été organisés. D’Osgiliath jusqu’aux portes de la cité, les colonnes avancent, escortées par soldats et cavaliers, comme un fleuve vital entre deux bastions. Un raid orc, rusé et mal intentionné, parvint à capturer l’un des frères maîtres nains. Par le jeu cruel de la menace et du troc, ils lui arrachèrent quelques informations avant de le relâcher, couvert de honte mais encore en vie. Face à cette ignominie, le Gondor ne demeura point immobile. Les troupes se préparèrent et frappèrent un campement gobelin avancé. Les orcs, pris de vitesse, n’eurent pas le loisir de se regrouper, et durent abandonner leur position. Ce ne fut qu’une maigre victoire, car le camp n’était peuplé que de gobelins. Lors de l’assaut, un orc fut capturé. Tirant profit de cette prise, les hommes du Gondor négocièrent l’échange de prisonniers humains retenu dans l’ombre du camp. L’affaire fut conclue, et une vie d’un frères sauvée. Mais cette victoire, brève et fragile, n’éteignit point la fureur ennemie. Alors que les flammes du camp conquis s’éteignaient, la rumeur d’un émissaire du Rohan parvint aux oreilles des capitaines. Un lieu de rencontre doit être trouvé dans les terres… mais l’ombre des orcs enragés rôde déjà, rendant chaque chemin périlleux et chaque halte incertaine. La garnison située au-delà de la rive de l’Anduin devint l’enjeu des deux armées. Poste stratégique, elle représentait tantôt une voie de retraite vitale pour le Gondor, tantôt un tremplin pour l’assaut d’Osgiliath. Après un combat acharné, les forces du Mordor durent organiser une retraite précipitée, marquée par la capture d’un caporal de l’Œil Rouge. La victoire revint au Gondor, grâce à l’initiative de Faramir, épaulé par Thrain Barbe-de-Fer, qui mena les hommes avec courage.

    - Acte 2: La Conquête D'Osgiliath. -
     

    Les premiers jours du conflit furent marqués par un fracas ininterrompu de l’acier et des cris. Dès l’aube, les orcs multiplièrent les incursions, cherchant à briser les défenses du Gondor par la force brute et la ruse. Plusieurs percées eurent lieu, certaines menaçant d’ouvrir la cité aux assaillants. Les bannières noires se dressaient déjà sur les remparts extérieurs, et l’on crut un instant Osgiliath perdue. Mais chaque fois, les hommes du Gondor tinrent bon, luttant avec une ardeur qui surprit leurs ennemis. Au cours du premier jour, les troupes de la légion noir tentèrent un large contournement par la rive nord. Un détachement chercha à surprendre les défenseurs par le fleuve. Mais les éclaireurs gondoriens les repérèrent, et une pluie de flèches les fit sombrer avant qu’ils ne puissent pénétrer la cité. L’infanterie orque lança trois charges successives contre la porte brisée de l’est : toutes furent repoussées, au prix d’un lourd tribut pour les défenseurs. Les guérisseurs ne cessaient d’aller et venir, soignant à la hâte les soldats blessés, qui reprenaient leur place sur les lignes malgré la douleur. Le second jour, l’ennemi frappa de nouveau, avec une fureur décuplée. Des béliers furent amenés, et les orcs parvinrent à ouvrir une brèche dans les murailles effondrées. Là, le combat se fit au corps à corps, dans les ruines mêmes d’Osgiliath. Les ruelles s’emplirent de sang et de fumée, et l’on se battit maison après maison, pierre après pierre. Mais les défenseurs, galvanisés par leur victoire et par l’arrivée d’un contingent de cavaliers du Rohan, parvinrent à repousser l’envahisseur. Quand tomba la nuit du deuxième jour, la cité tenait toujours. Les orcs avaient perdu plusieurs hommes, leurs machines de guerre étaient réduites à des carcasses fumantes, et leurs tentatives de contournement avaient échoué. Les défenseurs, épuisés mais debout, avaient prouvé que ni le fleuve, ni les murs brisés, ni les assauts répétés ne suffisaient à ébranler leur détermination. Pourtant, chacun savait que la bataille n’était pas achevée. Au loin, sur les eaux sombres, les voiles des Haradrim se dessinaient déjà, et de Minas Morgul montait la marche des légions noires. La guerre d’Osgiliath ne faisait que commencer. Le calme avant la tempête.Les assauts répétés des orcs furent repoussés, offrant deux jours d’un répit fragile. Osgiliath tenait encore, fière et meurtrie. Mais déjà, à l’embouchure de l’Anduin, les voiles sombres des navires haradrim se dessinaient. Malgré les efforts désespérés du Gondor, trois d’entre eux parvinrent à bon port, déversant vivres et armes au profit du Mordor. Fort de ces renforts venus du Sud, l’Ennemi lança un nouvel assaut. Trois offensives successives brisèrent peu à peu la résistance des défenseurs. En sous-nombre, leur vaillance fut admirable, mais bientôt, ils durent se résoudre à battre en retraite. Cette fuite fut marquée par de lourdes pertes, de nombreuses captures… et la chute de Thráin Barbe-de-Fer, nain légendaire, meneur de la résistance et maître de la Guilde des Quatre Terres de Minas Tirith. Osgiliath tomba. Et avec elle, Faramir, fils de Denethor, fut capturé..

    - Acte 3: Le Siège de Minas Tirith. -

    Déjà, Minas Tirith se prépare au siège. Les efforts convergent, les murs s’arment, les torches s’allument sur les remparts. Libéré de l’emprise du mal grâce à la Guilde des Quatre Terres et à Durnak Sombre-Éclat, Denethor l’Intendant a retrouvé sa clarté. Dans les profondeurs des Terres de L'anduin, la Voix des Morts, longtemps close, fut redécouverte. Dès lors, une course contre la montre s’engagea entre les deux camps : chacun cherchant, à travers trois épreuves, à convaincre les spectres de se libérer enfin de leur serment oublié…
    Les Morts répondirent à l’appel du Gondor, et vinrent soutenir la Cité Blanche, tout comme les cavaliers du Rohan, foulant les plaines à la lueur du matin. Mais ce jour-là, d’autres encore s’élevèrent une infanterie naine, menée par Thrainnor Barbe-de-Fer, répondit à la voix de l’honneur. Sous sa bannière furent réunis de valeureux guerriers, formant une communauté indomptable, suivant les traces de son frère Thrain, héros des anciens temps. Parmi eux se tenaient : Harven, l’Assassin des Lignes Ennemies ; Lila Noisette, la hobbit intrépide ; Brandebouc Aldebrand, le Fléau des Orques ; Drakmir Forgefeu, Maître Forgeron et Fléau des Ours ; Durnak Sombre-Eclat Le Maitre Alchimiste ; Fennel Sacqueville, Maître Armurier ; Meneldir, sage parmi les Elfes ; Vorath le Repenti, revenu des ombres ; Elarwen l’Ange Gardienne ; Brandebouc Cota Le Charpentier Lunatic ; Morwen Draelith et Petter Fox et Garen ; ainsi que Calion Eryndor et Daegil le Seregon, guerriers de grand mérite. Tous s’unirent face aux ténèbres. Par la ruse, la bravoure et l’alliance de leurs peuples, ils repoussèrent par trois fois les vagues d’Orques, innombrables et féroces. Et lorsque le Roi-Sorcier d’Angmar, dans son ultime folie, mena lui-même la bataille, ils tinrent bon encore, jusqu’à ce que, par la puissance de Gandalf le Blanc, le mal fût banni à jamais. Alors le Gondor fut sauvé. La victoire fut célébrée, et chacun put retrouver la paix de sa demeure. Car, au même moment, dans les terres du Mordor, un humble hobbit nommé Frodon Sacquet, accompagné de Sam Gamegie, parvint à détruire l’Anneau de Pouvoir. Ainsi s’acheva la grande guerre des Peuples Libres, et le nom de la guilde des Quatres Terres, ainsi que ceux des compagnons, fut gravé pour toujours dans les légendes de l’Ouest.

    - Fin des c
    hroniques Et Récit Chapitre 1 Le Siège de Minas Tirith. - 

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