Serveur avec accès public
En 2019, la Livonie, petit pays de l’Europe de l’Est, fut frappée par une catastrophe sans précédent. Un virus inconnu apparut dans les régions rurales, d’abord sous la forme d’une simple grippe. En quelques jours, les malades présentaient des symptômes inquiétants : leur peau devenait grisâtre, leurs yeux vides, et bientôt, ils succombaient à une violente rage. Le gouvernement, pris de court, déclara l’état d’urgence, mais il était déjà trop tard.
Le virus, surnommé “COVID 19”, ne tuait pas ses victimes de manière définitive. Après quelques heures de mort apparente, les infectés se relevaient, transformés en morts-vivants, errant dans les villes et villages, attaquant quiconque croisait leur chemin. En moins de deux semaines, la capitale, Riga, tomba dans le chaos. Les forces de l’ordre furent rapidement submergées, incapables de contenir les hordes qui déferlaient dans les rues.
Des groupes de survivants s’organisèrent dans des enclaves fortifiées. Parmi eux, Eva, une chercheuse en biologie, et un groupe de militaires dirigé par le général Sokolov. Ensemble, ils découvrirent que le virus avait été conçu dans les années 1990 comme une arme biologique, mais jamais utilisé… jusqu’à aujourd’hui. En cherchant un remède, ils élaborèrent un vaccin temporaire, capable de ralentir l’infection, mais non de l’arrêter mais malheureusement des militaires partis en quête de réponses se sont fait attaquées l’un d’eux s’est fait mordre mais n’a rien dis à personne alors il créa le chaos dans un camp de quarantaine.
Isolée du reste du monde, la Livonie sombra dans le chaos. Ses frontières furent fermées, et les gouvernements voisins refusèrent toute intervention. La lutte pour la survie devint quotidienne, tandis que les derniers bastions humains résistaient face aux hordes de morts-vivants. Les rares survivants, désespérés, savaient que l’espoir de sauver leur nation diminuait chaque jour, alors que le virus continuait de se propager à une vitesse effrayante.